Knight-Swift affiche une baisse de 69 % de ses bénéfices au troisième trimestre malgré une augmentation de 6,5 % du chiffre d’affaires
Knight-Swift a annoncé une chute de 69 % de ses bénéfices au troisième trimestre par rapport à l’année précédente, malgré une augmentation notable de son chiffre d’affaires.
Le transporteur de lots complets basé à Phoenix a enregistré un bénéfice net attribuable à ses opérations de 60,2 millions de dollars, soit 37 cents par action diluée, contre 194,8 millions de dollars, soit 1,21 $ par action, à la même période de l’année précédente. Cependant, les revenus totaux de la société ont connu une augmentation significative de 6,5 %, passant de 1,9 milliard de dollars à 2,02 milliards de dollars.
Lors d’une conférence téléphonique avec les investisseurs, David Jackson, PDG de Knight-Swift, a abordé les défis auxquels la société est confrontée sur le marché actuel du fret routier. « Nous continuons d’être dans un marché du fret routier déprimé où les attentes en matière de tarifs des expéditeurs sont souvent proches, voire inférieures, des coûts d’exploitation », a-t-il déclaré. « Les tarifs au comptant ne sont pas à des niveaux viables et s’avèrent impossibles à survivre pour ceux qui dépendent de ce type de fret. »
Cette situation met en évidence les difficultés auxquelles les transporteurs routiers sont confrontés, malgré une augmentation des revenus. La rentabilité est devenue un défi majeur dans un environnement où les tarifs du fret et les coûts opérationnels sont en décalage, ce qui met à l’épreuve les acteurs de l’industrie.dans un marché du fret routier déprimé où les attentes en matière de tarifs des expéditeurs sont souvent proches, voire inférieures, des coûts d’exploitation », a-t-il déclaré. « Les tarifs au comptant ne sont pas à des niveaux viables et s’avèrent impossibles à survivre pour ceux qui dépendent de ce type de fret. »
Cette situation met en évidence les difficultés auxquelles les transporteurs routiers sont confrontés, malgré une augmentation des revenus. La rentabilité est devenue un défi majeur dans un environnement où les tarifs du fret et les coûts opérationnels sont en décalage, ce qui met à l’épreuve les acteurs de l’industrie.